Mahmoud, père de deux filles, se confie sur les difficultés de la vie quotidienne dans le quartier Arafat à Nouakchott, où l’insalubrité, le chômage et le manque d’accès à l’éducation sont des défis constants.
Journaliste : Bonjour Mahmoud, pouvez-vous nous parler un peu de vous-même et de votre vie dans le quartier Arafat à Nouakchott ?
Mahmoud : Bonjour, je m’appelle Mahmoud et je suis un père célibataire de deux filles âgées de 6 et 9 ans. Je vis dans le quartier Arafat depuis de nombreuses années et je travaille dur pour subvenir aux besoins de ma famille.
Journaliste : Pouvez-vous nous dire quelles sont les difficultés que vous rencontrez dans votre vie quotidienne ?
Mahmoud : Les défis sont nombreux. Tout d’abord, il y a un problème majeur de chômage dans le quartier, ce qui rend difficile pour moi de trouver un travail stable et bien rémunéré. Ensuite, il y a des problèmes de santé publique tels que l’insalubrité et le manque d’accès à l’eau potable. Enfin, l’éducation de mes filles est un défi, car les ressources éducatives sont limitées dans notre quartier et les fournitures scolaires coûtent cher.
Journaliste : Comment gérez-vous votre rôle de père célibataire tout en essayant de subvenir aux besoins de votre famille ?
Mahmoud : C’est difficile, mais j’essaie de trouver un équilibre. Je travaille dur pour subvenir aux besoins de mes filles, mais je suis aussi présent pour elles autant que possible. Je les encourage dans leur éducation et j’essaie de les aider avec leurs devoirs chaque soir.
Journaliste : Quelle est votre opinion sur les initiatives communautaires et les organisations locales qui travaillent pour améliorer les conditions de vie dans votre quartier ?
Mahmoud : Je suis très reconnaissant pour ces organisations et les initiatives communautaires qui travaillent pour améliorer notre quartier. Ils font un travail important en fournissant des ressources éducatives et en aidant les gens à trouver du travail. J’espère qu’ils continueront à travailler pour améliorer notre quartier et à aider les gens qui en ont besoin.
Journaliste : Pour conclure, pouvez-vous nous parler de vos espoirs pour l’avenir ?
Mahmoud : Mon espoir pour l’avenir est de voir mon quartier se développer et devenir un endroit meilleur pour moi, ma famille et tous les habitants. J’espère que mes filles pourront avoir accès à une éducation de qualité et à des opportunités d’emploi dans le futur.
